Insérés dans l’en-tête de son blog, le drapeau libanais, l’image d’un casque de protection et ces trois expressions: «Constamment, patiemment, avec succès.» Des mots qui représentent sa vision de la vie, lui qui a réussi à se surpasser à maintes reprises. Lui qui, après un grave accident de travail survenu en 1995 et qui l’a laissé paraplégique, est parvenu à rebondir, à se reconstruire et à se créer une nouvelle existence.
Quel bel exemple de résilience!
Deux ans seulement après son accident, Edward Maalouf commence à s’entraîner intensivement et devient en 2005 cycliste à main professionnel. Aujourd’hui, presque deux décennies après sa malheureuse chute du 6e étage d’un immeuble en construction, cet athlète doublement médaillé de bronze en cyclisme à main aux Jeux paralympiques de Pékin est parti à la conquête de l’or à Londres.
En tapant son nom sur un moteur de recherche, on tombe rapidement sur des appels de soutien à Edward Maalouf qui se bat – sous les couleurs libanaises – presque sans aucun support officiel du gouvernement libanais. Une honte! Une honte aggravée par le fait que c’est nous qui avons besoin d’Edward Maalouf, de l’image qu’il véhicule et de la bouffée d’espoir qu’il transmet.
Dans une entrevue accordée après ses excellents résultats (malgré des problèmes de santé) aux Jeux de Pékin, Maalouf adresse un mot aux Libanais souffrant de handicaps. «...Je suis sûr que si j’ai pu le faire, ils peuvent également y parvenir, affirme-t-il. Ils doivent se battre pour atteindre leurs objectifs.»
Un précieux message et une leçon de vie qui peut servir à chacun de nous.
Quel bel exemple de résilience!
Deux ans seulement après son accident, Edward Maalouf commence à s’entraîner intensivement et devient en 2005 cycliste à main professionnel. Aujourd’hui, presque deux décennies après sa malheureuse chute du 6e étage d’un immeuble en construction, cet athlète doublement médaillé de bronze en cyclisme à main aux Jeux paralympiques de Pékin est parti à la conquête de l’or à Londres.
En tapant son nom sur un moteur de recherche, on tombe rapidement sur des appels de soutien à Edward Maalouf qui se bat – sous les couleurs libanaises – presque sans aucun support officiel du gouvernement libanais. Une honte! Une honte aggravée par le fait que c’est nous qui avons besoin d’Edward Maalouf, de l’image qu’il véhicule et de la bouffée d’espoir qu’il transmet.
Dans une entrevue accordée après ses excellents résultats (malgré des problèmes de santé) aux Jeux de Pékin, Maalouf adresse un mot aux Libanais souffrant de handicaps. «...Je suis sûr que si j’ai pu le faire, ils peuvent également y parvenir, affirme-t-il. Ils doivent se battre pour atteindre leurs objectifs.»
Un précieux message et une leçon de vie qui peut servir à chacun de nous.
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