Liban, terre de miel et d'encens?: L’Association DES francophone de journalisme de l’Université libanaise (AFEJ) a célébré mardi son 10e anniversaire au Willow Garden à Antélias, en présence de personnalités du monde politique, diplomatique, académique, journalistique et littéraire. (l'Orient le Jour 14 janvier 2011)

L’Association DES francophone de journalisme de l’Université libanaise (AFEJ) a célébré mardi son 10e anniversaire au Willow Garden à Antélias, en présence de personnalités du monde politique, diplomatique, académique, journalistique et littéraire. (l'Orient le Jour 14 janvier 2011)

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Les dix commandements pour éviter l’abîme

Stop ! On s’approche dangereusement du précipice. Les dix conseils suivants pourraient empêcher la chute ou au moins amortir la descente… 1- Préserver son esprit critique. 2- Lutter contre la manipulation. 3- Fuir les amalgames. 4- Rejeter toute forme de généralisation et de discrimination. 5- Respecter les différences. 6- Varier les sources d’information pour éviter une vision monochrome de la réalité. 7- Bannir tout commérage, toute diffamation de son discours- éviter les « on m’a dit que.. », « l’oncle d’un de mes collègues est l’ami de… », « j’ai entendu que… », etc. 8- En parlant de nos politiciens, n’utiliser pas des termes tels que : traître, fou, voleur sans preuves à l’appui. 9- Soyez positifs et ne désespérer pas rapidement, certains accouchements sont plus longs et plus durs que d’autres. 10- Aimer la vie, la paix et le Liban par-dessus tout. Roula Azar-Douglas

Chez nous, c'etait le silence

La belle couverture de « Chez nous, c’était le silence » ne ment pas. En parfaite harmonie avec l’histoire, elle lève le voile avec pudeur sur une jeune femme dominée, meurtrie, brisée par une relation perverse et abusive. Le premier roman de Roula Azar Douglas élève la voix pour briser le silence entourant les victimes d’abus conjugaux. Il apporte sans faux-semblants, par touches simples, un éclairage réaliste sur la relation au sein d’un couple marqué par la violence. Pas de victimisation exagérée de la femme battue ou de grossière caricature de l’homme violent. Les images défilent, vibrantes de réalisme sur fond de la guerre libanaise des années 86. Le lecteur est touché par cette femme faisant face simultanément à la guerre qui dévaste son pays et a celle qui fait rage dans sa propre maison…

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