Matière à réflexion

Comment sortir de la grave impasse dans laquelle nous végétons ? Où trouver les solutions aux problèmes cardinaux auxquels nous sommes confrontés dans nos frêles tentatives de faire un pays de cette terre de miel et d’encens ?
Dans ma quête de réponses, je suis tombé sur bon nombre d’idées, fruits de longues réflexions de penseurs et d’écrivains, qui depuis le début des temps, se sont penchés sur la condition et la vie humaines. Comme leurs pensées reflètent la réalité de nos jours, et ce malgré les différences d’époque, de géographie, de contexte, de culture, et d’idéologie !

Ce qui suit est un échantillon de citations ô combien applicables à notre situation politique et sociale.

Albert Einstein :

« Je méprise profondément ceux qui aiment marcher en rangs sur une musique : ce ne peut être que par erreur qu’ils ont reçu un cerveau ; une moelle épinière leur suffirait amplement »

« La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent. »

René Descartes :

« Je ne suis pas de ceux qui estiment que les larmes et la tristesse n’appartiennent qu’aux femmes, et que, pour paraître homme de cœur, on se doive contraindre à montrer toujours un visage tranquille »

Victor Hugo :

« Il faudrait faire pénétrer de toutes parts la lumière dans l’esprit du peuple : car c’est par les ténèbres qu’on le perd »

Jean Anouilh :


« Qu’est-ce que gouverner le monde […] sinon faire croire à des imbéciles qu’ils pensent d’eux-mêmes, ce que nous leur faisons penser ? »

Jean-Paul Sartre :


« L’important n’est pas ce qu’on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu’on a fait de nous »

Milan Kundera :


« Selon la manière dont on le présente, le passé de n'importe lequel d'entre nous peut aussi bien devenir la biographie d'un chef d'État bien-aimé que la biographie d'un criminel. »

« [...] les mouvements politiques ne reposent pas sur des attitudes rationnelles mais sur des représentations, des images, des mots, des archétypes dont l'ensemble constitue tel ou tel kitsch politique. »

Albert Brie :


« Campagne électorale : Hostilités portées sur la place publique par les partis politiques, et menées avec les armes conventionnelles du mensonge, du vol, de la haine, du préjugé, du fanatisme, de la calomnie, de la bassesse et de la canaillerie. La lutte se termine ordinairement par la victoire du parti qui a su faire le plus éclatant usage de ces vertus démocratiques. »

Anonyme :


· « Quand vous écoutez un discours politique, il faut, comme à la chasse, tenir compte du vent. »

Roula Azar Douglas

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